Nous atterrissons
à Bellingen, village charmant au bord d'une rivière et avec une petite rue
principale proposant les commodités nécessaires à la vie de tous les jours. Les
gens se baladent pieds nus et l'atmosphère est conviviale, un brun hippie. Lainey, qui nous
montre une fois de plus la gentillesse des Australiens, nous invite à dormir
chez elle et on rencontre ses 4 enfants.
Le samedi matin, se tient à Bellingen un des plus grand marché de la région, et nous espérons se faire embaucher par des agriculteurs du coin. Malheureusement, personne n'a de travail pour nous. Nous avons également sillonné les routes autour du village à la recherche de travail dans les fermes. Cependant nous n'étions pas trop crédibles en arrivant dans les fermes en mini short, tongs et lunettes de soleil, en mode Paris Hilton et Nicole Richie à la ferme.
Le samedi matin, se tient à Bellingen un des plus grand marché de la région, et nous espérons se faire embaucher par des agriculteurs du coin. Malheureusement, personne n'a de travail pour nous. Nous avons également sillonné les routes autour du village à la recherche de travail dans les fermes. Cependant nous n'étions pas trop crédibles en arrivant dans les fermes en mini short, tongs et lunettes de soleil, en mode Paris Hilton et Nicole Richie à la ferme.
Finalement, nos
efforts des deux derniers jours ont été récompensés car nous avons été appelés
pour travailler pour planter de l'ail.
Dans cette petite rue principale du village, dans le magasin de produits bio locaux, j’ai demandé au gérant s'il connaissait des agriculteurs du coin qui cherchaient des backpakers. Il nous a donné deux numéros de téléphone, dont celui de son voisin, Marc, qui semblerait être en train de planter de l'ail.
L’homme nous avait dit que son équipe était au complet. En définitive, le lendemain, il a besoin de nos petits bras. Nous avons travaillé 3 jours dans cette petite exploitation biologique, tenue par ce professeur en science agroalimentaire.
Dans cette petite rue principale du village, dans le magasin de produits bio locaux, j’ai demandé au gérant s'il connaissait des agriculteurs du coin qui cherchaient des backpakers. Il nous a donné deux numéros de téléphone, dont celui de son voisin, Marc, qui semblerait être en train de planter de l'ail.
L’homme nous avait dit que son équipe était au complet. En définitive, le lendemain, il a besoin de nos petits bras. Nous avons travaillé 3 jours dans cette petite exploitation biologique, tenue par ce professeur en science agroalimentaire.
Nos journées sont
rythmées entre la préparation de la terre, la plantation de l'ail en rangée de
5 ou 6, la mise en place des tuyaux d'irrigation et le paillage. Nous étions
payées 20 AUD de l'heure et le déjeuner nous était offert.
Nous aurions voulu
travailler plus longtemps mais nous étions obligées d'aller dans le Queensland
pour faire les papiers du van, immatriculé dans cet état. En Australie, nous
avons un délai de 15 jours pour changer la carte grise. Pendant tout ce temps à
Bellingen, nous avons été hébergées soit
chez Lainey qui nous considérait comme ses enfants ou dans la maison où Pip
faisait de l’ House sitting - cad garder la maison de personnes qui partent en
vacances -.
Puis il est temps de prendre la route pour Byron Bay. Nous tombons en panne d’essence à quelques kilomètres de Grafton. Le voyant de la jauge d’essence ne fonctionne donc pas… De nuit, nous devons faire du stop pour atteindre la station la plus proche. Très rapidement un australien d’origine asiatique, arrivant à dans l’autre direction, fait demi tour, et nous amène jusqu’à la station; puis sans attendre, pour retourner à notre van avec notre bidon, un backpacker anglais nous prend en stop.
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